Le circuit court dans la viande comme dans les fruits et légumes consiste à supprimer ou limiter les intermédiaires. Qui dit moins d’intermédiaires dit meilleure traçabilité des produits, soutient des producteurs locaux, mais pas que. C’est un moyen vertueux pour que consommateurs et producteurs s’y retrouvent tous les deux.

Pour dire qu’une viande est issue du circuit court, il doit y avoir au maximum un intermédiaire entre le producteur et le consommateur. S’il n’y a pas du tout d’intermédiaire, c’est alors de la vente directe.

Pour entrer pleinement dans le concept de circuit court, l’intermédiaire, doit apporter une valeur ajoutée sur le produit et non pas être un intermédiaire « passif » dont le seul but est de faire du profit sur la vente.

Lorsqu’une viande est issue du circuit court, comme dans le cas de Terdivanda, cet intermédiaire a pour but de valoriser et de transformer la viande issue des producteurs. C’est aussi un excellent moyen de garder une traçabilité plus exacte.

Les circuits courts ont des impacts positifs tant pour les producteurs, les habitants ainsi que l’environnement.

 Privilégier la consommation de viande en circuit court permet de donner plus d’indépendance aux éleveurs. Le fait qu’il n’y ait qu’un interlocuteur, cela permet aux consommateurs de connaitre parfaitement la localisation, le nom du producteur, les conditions d’élevage, l’alimentation donnée aux animaux, etc.

Pourquoi consommer des viandes venues d’autres pays quand il y en a à côté de chez soi ? Comme son nom l’indique, les viandes en circuit court limite la production de gaz à effet de serre puisque les déplacements sont limités à des distances plus courtes. Il faut noter aussi que c’est un mode de consommation plus responsable, car les quantités d’emballages sont largement réduites.

La diminution des intermédiaires permet la rémunération des agriculteurs et des producteurs au juste prix. Le producteur est libre de fixer le prix équitable pour rémunérer son travail.

La viande en circuit court ne parcourt pas de longue distance. Elle peut donc maturer tranquillement en chambre froide et être conditionnée pour le consommateur au moment opportun. Souvent issue d’une agriculture durable, l’alimentation et le soin donné aux animaux ainsi que les conditions d’élevage en font une viande plus saine, savoureuse et qualitative.

Depuis que l’idée de créer Terdivanda est née, nous avions à cœur de réduire cet écart entre producteurs et consommateurs.

Nous souhaitions faire en sorte que :

- Les producteurs puissent se concentrer sur le cœur de son métier : l’élevage de ses animaux, en lui enlevant la partie fastidieuse de la commercialisation et de l’expédition.

- Donner une rémunération équitable au producteur pour son travail, selon un prix discuté ensemble à sa juste valeur.

- Assurer une découpe qualitative de chaque pièce afin de valoriser le travail fait en amont par le producteur

- Redonner au consommateur un maximum de transparence et de qualité à ses achats de viande. Il semblait essentiel pour nous qu’il connaisse la provenance, la qualité et l’engagement mis derrière chaque pièce de viande.

- Redonner du temps au temps : proposer une viande raisonnée, respecter les rythme des animaux, donner à la viande le temps nécessaire de maturation et ainsi réduire une consommation de viande pauvre en qualité.